Troisième album déjà et pourtant, toujours cette même sidération. Pas d’accoutumance, encore moins d’endurcissement face aux déflagrations sursaturées de la créature texane. Elles cueillent comme au premier jour, vrillent le cortex et écorchent les tympans exactement de la même façon. L’entité Quttinirpaaq est profondément barbelée et n’amalgame que du malaisé. Rien pour le confort de l’auditeur mais rien…