Aluk Todolo débarrassé de ses digressions, ne gardant que ses atours carnassiers, voilà de prime abord ce qu’évoque Voix. Dès la première seconde, on est happé. Mais ça, c’est plutôt habituel. Et puis l’enchevêtrement est toujours de mise. La basse tapisse la route tortueuse de grosses giclées caoutchouteuses sur lesquelles la batterie rebondit et la guitare traque…