C’est le grand retour de Bambara qui n’était toutefois pas parti depuis si longtemps via son Shadow On Everything de 2018. Et cette fois-ci, c’est encore différent. On retrouve certes toute l’imagerie habituelle – l’arrachage dark, les textes bien troussés, le sang d’encre très épais virant au noir de jais – mais expurgée du brouillard…