Une basse, une batterie, quelques claviers discrets et des voix qui s’entremêlent. Des armes minimales qui dessinent pourtant des morceaux très habités. Très froids aussi. Et qui filent vite. Parce qu’ils ne sont que six et qu’ils sont invariablement coincés entre un peu moins et un peu plus de trois minutes. Le premier album d’AVALE…