Jaune Colère s’écoute autant qu’il se lit. Il ne se consomme pas, il se ressent. Il se regarde aussi puisqu’à l’instar des précédents, la pochette agrippe. Jaune Colère, c’est un fragment de psyché posé là. On s’en empare ou pas mais si on le fait, on se retrouve propulsé dans un territoire aux contours flous…