D’abord, le triumvirat obligatoire – guitare, basse, batterie – puis le chant évidemment, quelques claviers et enfin, une/des flûte(s) que l’on ne décèle pas forcément, perdue(s) au milieu des agrégats, excepté lorsqu’on entend qu’elle(s) (sur l’entame d’In This Room par exemple). Avec tout ça, Princess Thailand façonnait jusqu’ici un noise-rock bien post-punk aux entournures (et…