Toujours en retard, toujours à l’envers. On retourne cette fois-ci au mois de septembre qui, cette année, s’est montré particulièrement chargé. Mais peu importe, le Verdaillon de Saåad efface de toute façon tous les repères et désintègre consciencieusement la flèche du temps. Quand on l’écoute, tout s’arrête et il ne reste plus que lui, son orgue solennel…