Sur ce nouveau chef-d’œuvre onirique et déstructuré qui nous aura demandé plus d’écoutes que son prédécesseur, la géniale taïwanaise, tête de pont du label anglais Chinabot dédié aux musiques électroniques venues d’Asie, évoque plus que jamais l’angoisse d’une société technologique où l’on se prend à questionner la notion même de réalité, alors que les smartphones…