Découvert courant 2012 grâce à cette chronique du compère Inoui sur feu Have Faith in Sound, l’Italien Sebastiano Festa associait alors son électronica downtempo au piano et aux glitchs du Japonais Akito Misaki, signant un petit bijou de mélancolie éthérée à rapprocher d’Erissoma ou encore des travaux les plus light de r.roo. Ingénieur du son…
