Ceci est bien une énième chronique de Sufjan Stevens, qu’on pourrait d’ailleurs estimer légèrement déphasée par rapport à la ligne éditoriale de ces lieux. Si j’aimerais démontrer vaillamment le contraire, la raison pour laquelle ces lignes atterrissent ici tient surtout du gigantesque coup de cœur personnel – partagé avec des foules, certes, mais qui expliquera…