Une entame tranquille. Deux minutes trente de bruits variés. Quelques larsens, quelques nappes de pschittt robotiques et la voix déformée en-dessous. On aimerait bien comprendre ce qu’elle murmure mais les percussions patraques – plutôt tribales à bien y regarder – la couvrent complètement. Et puis, ça commence. Quoi ? On ne sait pas trop à vrai…